Mirages d’une enfance perdue

Une terrible intrigue : Michel Vercelli, âgé de douze ans a-t-il vraiment disparu depuis six mois, comme le laisse entendre la comtesse Rotossov qui s’occupait de son éducation ? Pourquoi la police a-t-elle classé l’affaire ? Lorsque Mallot, détective engagé par Madame de Rotossov, visite la chambre de l’enfant, les images qu’il y découvre lui font penser que cet enfant a vécu cinquante ans plus tôt : la comtesse a-t-elle perdu la tête ?

Des semblables images arrivent régulièrement par la Poste créant une piste que va suivre le détective, victime d’agressions diverses et d’hallucinations. Rapidement, il a l’impression d’être tombé dans un piège. Qui est réellement cette comtesse cachant des activités troubles dans un laboratoire au fond de son domaine ? N’est-il pas devenu le cobaye d’une étrange expérience ? Autant de mystères que devra résoudre Mallot jusqu’au dénouement surprenant.

De La Madeleine, dans la banlieue lilloise, à Villequier, en Normandie puis dans le Soissonnais et finalement au Touvet, dans l’Isère le lecteur sera emporté par ce passionnant roman au rythme de ces images Rossignol que les maîtres accrochaient aux murs de la classe et qui ont fait rêver des générations d’écoliers.

Couverture : avec l’aimable autorisation de Philippe Rossignol qui a préfacé ce roman

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UNE SECONDE VIE POUR « MIRAGES D’UN ENFANCE PERDUE »

Grâce aux éditions Encre Bleue, il est publié en LARGE VISION pour les personnes à la vue déficiente.

Dans cette collection, le roman est publié en deux tomes et il s’appelle :